Jeff ☼ hit the road Jack, and don't you come back no more...
K. Adam Jefferson
discovering the city
PSEUDO : Lady Rose ÂGE IRL : 34 ARRIVÉE SUR TRS : 14/07/2012 MESSAGES : 18 AVATAR : Léo di Caprio COPYRIGHT : (c) Cristalline & TumblrÂGE : 38 ans
Sujet: Jeff ☼ hit the road Jack, and don't you come back no more... Sam 14 Juil - 22:01
◊ Kol, Adam Jefferson
Life is an accident waiting to happen. Desire is a stranger you think you know. Intimacy is a lie we tell ourselves. Truth is a game you play to win. If you believe in love at first sight, you never stop looking…
nom Jefferson ● prénoms Adam, Kol ● âge 38 ans ● date & lieu de naissance 21 avril 1974 à Boston, MA ● statut amoureux divorcé ● orientation sexuelle hétéro à 200% ● études/job agent de la CIA ● quartier d'habitation westside ● groupe JV citizens ● avatar léonardo di caprio
caractère
Insolent, Adam n’a jamais pu se conformer à une quelconque forme d’autorité, ce qui lui a valu de nombreux problèmes à l’école. D’ailleurs à ce propos, il a été renvoyé à plusieurs reprises entre le collège et le lycée. Le psy que les services sociaux ont essayé de lui faire voir ont dit que c’était dû à l’absence d’une figure paternelle dans le foyer. Débrouillard, il a su très jeune prendre soin de lui-même ; d’un autre côté, il n’a pas vraiment eu le choix, quand sa mère ne travaillait pas – comprendre lorsqu’elle ne faisait pas le tapin – elle était en vadrouille avec ses mecs successifs, à s’injecter toutes sortes de substances plus ou moins licites dans les veines. Très rapidement, c’est lui qui a dû prendre soin de sa mère. Observateur, il parle peu, mais son regard est une de ses armes les plus redoutables, alliée à une mémoire soigneusement entraînée. La répartie. C’est aussi un de ses atouts. Quand on grandit dans les quartiers pourris de Boston sud, on apprend à ne pas se laisser marcher sur les pieds, et répondre du tac au tac peut être un très bon moyen de tenir les emmerdeurs à distance. Eventuellement on se sert de ses poings. Bon, c’est pas si rare que ça, mais on commence d’abord par les moyens civilisés. Têtu. Pire que ça en fait, une vraie tête de mule, un enfer pour ses coéquipiers parce qu’à partir du moment où il a une idée en tête, personne ne peut le faire changer d’avis. Du moins plus personne, maintenant que son boss est mort. Il était un peu la figure paternelle qui lui avait tant fait défaut étant plus jeune. Accessoirement, c’était le seul devant qui il pliait. Peu sociable. En fait, il se drogue à son job et n’a plus de temps pour rien d’autre, mais en fait, s’il s’en donne la peine, il est capable d’avoir une vie sociale, c’est juste l’envie qui n’est pas vraiment là. Oui, il est aussi un peu misanthrope sur les bords.
habitudes
Fume un peu trop et est accroc au café Collectionne les contraventions pour non respect des limites de vitesse Outre l’anglais, se débrouille sommairement dans deux langues (arabe, russe) Porte sur le torse un emblème étrange, marqué au fer rouge Adore les vieux disques vinyles, il en a une collection impressionnante Ses plus proches amis et ses collègues aiment le surnommer « Jeff » Il a une fille de huit ans mais ne la voit plus parce que sa mère en a la garde C’est un cinéphile confirmé Il avait un frère de trois ans son cadet, mais il est mort dans un stupide accident de la route ec
◊ where it all begins
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◊ who are you really ?
prénom&pseudo Lady Rose ● âge 22 yo ● comment as-tu connu le forum ? on s'est rencontrés dans un café ● comment le trouves-tu ? il est très beau ^^ ● présence rp constante ● présence facebook quasi nulle ● dernier mot ? Hallelujah ● crédits douxe@tumblr
Dernière édition par K. Adam Jefferson le Lun 16 Juil - 17:06, édité 6 fois
K. Adam Jefferson
discovering the city
PSEUDO : Lady Rose ÂGE IRL : 34 ARRIVÉE SUR TRS : 14/07/2012 MESSAGES : 18 AVATAR : Léo di Caprio COPYRIGHT : (c) Cristalline & TumblrÂGE : 38 ans
Sujet: Re: Jeff ☼ hit the road Jack, and don't you come back no more... Sam 14 Juil - 22:03
« Les volontés faibles se traduisent par des discours ; les volontés fortes par des actes. »
« When there ain't nowhere you can go, running away from pain when you've been victimized ; Tales from another broken home »
Boston sud, octobre 1991. Elle n’avait pas dit un mot depuis déjà de longues heures, et puis soudainement, comme dans un sursaut, elle parvient à articuler « va chercher ton frère, on passe à table. Et puis range moi tout ça, une vache retrouverait pas son veau dans ce fatras... » Il se retient de dire quoi que ce soit, elle est encore en plein délire, en plein déni, dans son monde. Elle passe le plus clair de son temps enfermée dans sa bulle, ce petit cosmos qu’elle s’est créé ou plutôt ce monde dans lequel la surconsommation d’alcool l’a jetée ; ce jardin secret dont elle aurait perdu la clé. Autrefois, il lui aurait répondu, il lui aurait rappelé que Matt n’était plus là, mais il avait compris que c’était peine perdue. « Prends pas cet air suffisant avec moi, t’es qu’un bon à rien toi aussi.. » elle ne le regarde même pas, ses yeux sont rivés au sol, fixant Dieu sait quoi. Résigné, il se lève et ramasse les quelques cadavres de bouteilles qui jonchent le sol. A en juger par ce champ de bataille, elle a encore dû se faire larguer par un de ses mecs. C’est toujours le même schéma : elle dit que les hommes sont tous les mêmes, et puis au bout du compte, elle finit par s’enticher d’un – généralement il est aussi instable qu’elle – et puis il y a l’accalmie. Mais ça ne dure jamais bien longtemps. Du haut de ses dix-sept ans, il a compris qu’elle était elle-même bien trop fragile pour être mère. Combien de fois avait-il dû la porter dans son lit parce qu’elle était trop ivre pour s’y traîner toute seule... Il ne compte plus non plus les fois où elle ne rentre pas de la nuit parce qu’elle a suivi untel qui habite à l’autre bout du pays. Flétrie par les épreuves, elle s’était desséchée sur pied. Enceinte trop jeune, rejetée par une famille à l’esprit trop étriqué, abandonnée par un type bien trop immature pour prendre ses responsabilités, elle n’avait pu faire autrement que de se débrouiller seule, tant bien que mal. Le résultat était désastreux et il savait parfaitement qu’elle s’en rendait compte... Elle est prostrée, marmonnant des flots de paroles incompréhensibles. C’est plus qu’il ne peut supporter. Il sort les poubelles et en profite pour allumer une cigarette. Ressassant toutes ces pensées, il se fait le serment de mieux s’en sortir, coûte que coûte, il veut sortir de ce quartier pourri, faire quelque chose de sa vie, construire quelque chose, ne pas reproduire le scénario pitoyable de sa pauvre mère. . Sa cigarette terminée, il se décide à rentrer. Elle s’est endormie sur le canapé ; il l’allonge correctement et la couvre avec un plaid avant de monter se coucher.
« Quelqu’un que vous avez privé de tout n’est plus en votre pouvoir, il est de nouveau entièrement libre. »
« Feindre d’ignorer ce qu’on sait, de savoir tout ce que l’on ignore… Voilà toute la politique »
QG de l’AQPA, Sanaa (Yemen), août 2009. La chaleur est insoutenable dans cet endroit reculé de la capitale, à l’écart de tout. Son visage est ruisselant de sueur, il a terriblement soif mais il n’y a rien à portée de main. D’ailleurs, il les a liées. A genoux par terre, à même le sable brun et granuleux qui recouvre le sol – probablement suite à une tempête de sable – de cette galerie creusée à même le flanc rocheux de la montagne, il n’a rien d’autre à faire qu’attendre. Les minutes lui semblent des heures... il ne sait plus depuis combien de temps il est retenu ici, captif, attendant le bon plaisir de celui qu’il était supposé observer... Il attend le moment où ils en auront marre de son silence obstiné, quand ils comprendront qu’il n’y a rien à tirer de lui et qu’il n’a pas les informations qu’ils pensent qu’il a. Pour le moment, il se réfugie dans des pensées agréables, celles de sa femme et de leur petite fille, Sarah. Il pense qu’il doit tenir bon, pour elles. Il ferme les yeux, se rappelle chacun des traits de leurs visages et y puise sa force. Une porte s’ouvre en grinçant, qui le tire de ses pensées. L’homme qui entre, il le connaît bien, c’est Abu Zaief, le chef de ce groupuscule terroriste. Il porte une veste en treillis, sa barbe encadre le bas de son visage. Il prend la parole, d’une voix calme et posée, il parle un anglais parfait. « Quelle est ta mission ? » Les deux hommes se regardent, se jaugent, en silence. Pour la énième fois depuis qu’il a été amené ici il répond, calmement « Je suis reporter et je dois faire un article sur votre pays... Rien qui puisse vous offusquer si ? » il lui faut économiser sa salive, mais il rajoute tout de même « d’ailleurs vous devez avoir ma carte de presse quelque part ! » Un rictus mauvais apparaît sur le visage de son interlocuteur qui, il le sent, est sur le point de perdre patience. Cinq jours qu’il se fait servir ce même mensonge. « C’est faux. Je sais que c’est la CIA qui t’emploie, mais je veux savoir ce que tu cherches... الكافر الكلب » Il esquisse un sourire à moitié amusé, dangereusement insolent. « Vous dîtes mépriser la civilisation occidentale, pourtant si je me trompe pas, vous avez étudié à Yale... pas très cohérent. » L’autre commence à être franchement excédé, il fait signe à deux autres barbus de venir. Apparemment ce sont des hommes de main, ou tout autre subordonné assigné aux basses besognes. L’un d’eux lui plonge la tête dans une baignoire pleine d’eau. Une fois, puis deux, et trois... Quelques secondes à chaque fois. Et puis le chef reprend. « Une dernière fois, dis nous ce que tu sais, et tout ça s’arrêtera.. » Il sait ce que ça signifie, s’ils voient qu’ils ne peuvent réellement rien tirer de lui, alors ils l’abattront, purement et simplement. En y mettant les formes, avec une petite vidéo sur fond de bannière de propagande islamiste, mais le résultat sera le même. « Allez au diable. » leur crache-t-il dans leur propre langue. La riposte ne se fait pas attendre.
« When we dream, we enter a world that's entirely our own...»
« I can't keep up, I can't back down i've been losing so much time ...»
Jacksonville, juillet 2012. Dans sa salle de bain, il termine de se raser. Torse nu face à son miroir, il peut voir les traces encore bien visibles de son petit séjour à Sanaa. Il songe que sans l’intervention des forces spéciales, il ne serait pas chez lui en train de se raser. C’est bientôt l’anniversaire de Sarah... Comme tous les ans, il va envoyer un cadeau par la poste avec un petit mot. Huit heures du matin, l’heure d’aller bosser. Il s’habille en vitesse et quitte l’appartement en claquant la porte derrière lui comme à son habitude. Un arrêt au Starbucks s’impose, sans quoi la journée ne peut pas commencer. En chemin, son téléphone vibre. Casey. Il esquisse un sourire. Cette petite fille qu’il avait connue est devenue une ravissante jeune femme : pipelette – il se demande comment elle fait pour avoir autant de choses à dire, lui qui n’est pas spécialement loquace, ça reste un mystère – maniaque comme pas possible, totalement barrée, mais tellement belle, très vive et très énergique. Il se souvient de la première fois qu’il a commencé à la voir comme une femme et non plus comme la petite cousine qu’il n’a pas eue. C’était dans un bar, un de ceux qui ne sont pas particulièrement raffinés. Elle servait les bières et les whiskies et puis un soir, elle s’est retrouvée sur la scène, à se dandiner sensuellement. Ça avait été un électrochoc. Ils ont commencé à se voir, au début, c’était juste comme ça, en tout bien tout honneur, ils ont beaucoup parlé, se sont découvert pas mal de points communs. Et puis très naturellement, ils sont devenus amants. C’était juste occasionnel, aucune promesse, rien de solennel, juste quelques moments d’extase. Il répond à son texto, s’imagine quelques instants ce qu’elle porte, ce qu’elle fera de sa journée. Les cours sans doute. Il se moque de lui-même en se rendant compte qu’il est en train de s’attacher à elle, dangereusement. Presque vingt ans les séparent, à cet âge là, elle ne pense qu’à s’amuser, sûrement pas à se poser, et encore moins avec un « vieux » comme elle dit. Il ne sait pas encore à quel point il se plante...
Dernière édition par K. Adam Jefferson le Lun 16 Juil - 17:05, édité 17 fois
Joshua Brewster
king of the basterds
PSEUDO : dark dreams. ÂGE IRL : 32 ARRIVÉE SUR TRS : 15/01/2012 MESSAGES : 2300 AVATAR : cory monteith. COPYRIGHT : summer paradise | tumblr.ÂGE : 23 ans.
Sujet: Re: Jeff ☼ hit the road Jack, and don't you come back no more... Sam 14 Juil - 22:04
bienvenuuuuue sur TRS ! & bonne chance pour ta fiche n'hésite pas à contacter une des admins si tu as des questions
K. Adam Jefferson
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Sujet: Re: Jeff ☼ hit the road Jack, and don't you come back no more... Sam 14 Juil - 22:09
Merci =D Pour l'instant ça va mais j'hésiterais pas si besoin
Sujet: Re: Jeff ☼ hit the road Jack, and don't you come back no more... Lun 16 Juil - 19:18
Bon et bien voilà, je te valide ma poule j'aime ta fiche et surtout j'aime ton personnage tu peux dès à présent faire tes demandes de liens et te recenser dans les divers sujets. et surtout, n'oublie pas facebook
K. Adam Jefferson
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Sujet: Re: Jeff ☼ hit the road Jack, and don't you come back no more... Lun 16 Juil - 20:21
Merci, j'y cours
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Sujet: Re: Jeff ☼ hit the road Jack, and don't you come back no more...
Jeff ☼ hit the road Jack, and don't you come back no more...